Bruxelles défend faciliter des visas comme la forme de contribuer au tourisme
Par: Antonio Villena
La Commission Européenne a proposé ce mercredi d’étudier faciliter(fournir) des visas pour les citoyens(citadins) de pays tiers qui veulent voyager au territoire européen comme la forme de contribuer au tourisme et à la propre croissance économique en tenant en compte de l’importance du tourisme, qui emploie 18,8 millions de personnes dans l’UE.
Si les actuelles normes communautaires pour accorder des visas s’appliquaient d’une manière flexible le nombre additionnel de touristes internationaux dans Europapodría augmenter dans entre huit et 46 millions de personnes en 2015 et cela générerait des recettes(revenus) additionnelles d’entre 11.000 et 60.000 millions, en plus de contribuer à créer entre 200.000 et 1,1 millions d’emplois additionnels, directs et indirects, dans l’UE, selon des estimations du propre secteur touristique qu’une manière l’Exécutif communautaire.
Les pays qui intègrent l’espace ouvert sans des frontières Schengen ont émis 12,6 millions de visas en 2011, l’année dans laquelle les visiteurs étrangers se ont laissé enEuropa environ 330.440 millions d’euros dans des frais.
Le commissariat de l’Intérieur, Cecilia Malsmtröm, a affirmé que de l’actuel contexte de crise l’UE doit essayer « d’augmenter le flux de touristes en Europe » en préservant en tout cas la sécurité des frontières. « Faciliter(fournir) les opportunités pour qu’ils visitent l’Europe, les voyageurs légitimes qui ne représentent pas de risque pour la sécurité seulement un nombre un touristique du monde peut renforcer notre position comme destination(destin) et ce serait une réussite très bienvenue pour notre économie », il(elle) a ajouté.
Son homologue d’Industrie et d’Entreprise, Antonio Tajani, a assuré que faciliter(fournir) le tourisme est quelque chose qui est « très haut(grand) » dans son agenda(programme) et a souligné l’importance de « tenir en compte des considérations économiques quand des décisions sur des visas seront adoptées ».
L’Exécutif communautaire croit que si les consulats des États membres accomplissaient « correctement » le Code de Visas pour accorder une interview pour solliciter un visa dans un délai(terme) de 15 jours et pour décider sa concession ou non dans d’autres 15 jours il(elle) réussirait « beaucoup ».